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mercredi, 06 juin 2012

Lecture le 07 juin à 18h 30 dans le cadre de l'exposition de Martin Miguel à la Médiathèque de Contes (06)

Miguel, Livres d'artiste, Monticelli, Freixe, Contes, Arts plastiques, PoésieMiguel, Livres d'artiste, Monticelli, Freixe, Contes, Arts plastiques, Poésie

jeudi, 10 mai 2012

Médiathèque de Cannes- Pour les 20 ans des éditions Tipaza-Lecture le vendredi 11 mai 2012 à 18h30a note

 

 image003.gifLes Editions Tipaza créent des livres d’artistes depuis 1992. Ces livres mêlent tous étroitement textes poétiques et œuvres plastiques, en faisant appel à des techniques de reproductions diverses (offset, lithographie, sérigraphie, gravure, etc.) selon la collection dans laquelle ils s’inscrivent. Yvy Brémond et Gilbert Casula sont les principaux organisateurs des Editions Tipaza et ils partagent étroitement la création des livres avec les auteurs et les plasticiens.

 

 

 

 

 

 A l’occasion des 20 ans, des Editions Tipaza, Daniel Schmitt, Gilbert Casula, Colette Gibelin, Katy Remy et Alain Freixe proposeront des lectures de leurs poésies

 

 ENTREE LIBRE

 

Médiathèque de Cannes – 1, avenue Jean de Noailles - Tél. : 04.97.06.44.83

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lundi, 16 avril 2012

Rencontre/Lecture avec Yves Ughes à propos de son livre "Par les ratures du corps" (éd.de L'Amourier) à la Librairie/Galerie Arts 06 le vendredi 27 avril 2012 à 19h

Yves Ughes, L'Amourier, Arts 06, Poésie

23:02 Publié dans Nos ami(e)s lisent | Commentaires (0)

lundi, 20 juin 2011

Marie- Claire Bancquart sur Capharnaüm, douze stations avant Judas (éditions de l'Amourier) d'Yves Ughes

Couv Capharnaüm145 - copie.jpgLe personnage de Judas  a fait l’objet de diverses interprétations  inorthodoxes , à commencer par l’Evangile de Judas et par certaines sectes gnostiques dont s’est inspiré Nikos Kazantzakis : prédit en effet par les Ecritures comme le dénonciateur de Jésus, qui allait racheter sur la croix les péchés de l’humanité, n’était-il pas celui par qui s’accomplit une action nécessaire au salut, un proche, le plus proche de Jésus de tous les apôtres ? Ces interprétations qui ont traversé les siècles, malgré celle de l’Eglise, fondatrice de l’opinion commune, ne sont pas sans avoir permis celle qu’Yves Ughes met en scène dans Capharnaüm . Pourtant  la sienne est différente, comme d’ailleurs nous montre le sous-titre : « Douze stations avant Judas »   : récit d’une évolution, d’une formation .

« Capharnaüm », nom de la première station, est à la fois celui de la ville dans laquelle Jésus, selon les Evangiles, accomplit son premier miracle en guérissant le serviteur paralysé  du centurion, et le mot synonyme de désordre et d’enfermement  , venu du fait que la ville était une des grandes cités commerçantes d’Israël. C’est  cette signification qui apparaît dans la « première station », qui nous montre « Judas  le sicaire » dans un supermarché dont il est un habitué, puisqu’il en possède une carte de fidélité. Il est las de vivre avec les autres apôtres, dont il s’est séparé pour un temps ; las des mots qui  ne représentent pas une réalité tangible et bonne,  celles auxquelles il est attaché par sa nature :(il achètz avec joie de quoi faire un rouget au fenouil accompagné de vin rosé. )

Ce long poèmes en prose fait alterner les caractères en romain, concernant Judas lui-même, et le commentaire du poète en italiques, transférant Capharnaüm dans Nice, ville qu’il fréquente et connaît bien , avec ses fastes, ses misères, son tempo embouteillé comme ses routes, ses contrastes. Clochards, Marie-Madeleine en prostituée fatiguée, pauvre et soumise, connaissent dans notre siècle la même détresse de démunis que la Vierge…Comment ne pas s’interroger  sur l’esprit de la petite collectivité des apôtres, comment  Judas  n’appellerait-il pas « de tous ses vœux » la fin d’une  aventure  qu’il ne comprend pas, ? Déjà la cinquième station s’intitule : « Judas rumine : comment choisir le bonheur ? « Station 7, Jack Kerouac le croise «  et lui donne un exemplaire de Mexico City blues « . On le voit comme une « mouche » qui bute, à travers une vitre, sur son envie de ciel et d’air. Station 8, il  traîne,  épuisé , un corps agonisant.. »La mort viendra et elle aura tes yeux », par contraste ironique avec le titre de la station 9, « Joindre un rib, les voies du Seigneur sont impénétrables ». : évocation de toute une série de fatigues,  de disparitions dans la mort. Mais évocation heureuse, elle, de Marie de Béthanie , les jambes « sur la diagonale du jour », et qui en déchirent la lourdeur, la chevelure posée sur les senteurs de la terre. Du « mauvais côté de la table » au moment de la Cène, dans le silence de son portable, Judas se libère, devient lui-même, prend le parti des « espaces charnels » . Ainsi la douzième et dernière station est-elle celle de sa « résurrection », « sur une mer toujours plus vivace ». Au contraire du Judas traditionnel qui, après la trahison, se pendit  et perdit ses entrailles par son ventre crevé, « Le ventre cicatrisé/ guéri de sa haine/ il flotta comme une planche de salut entre ces villes qui ne sont qu’heureuses expansions d’îles/ pris par la harpe du vent il accepta le salut du lieu/ et tout advient. ».

Parcours de rues et de régions, de deuils et de beautés. Judas est celui qui ne peut considérer le malheur comme une destinée finale de l’homme : il  se résout à aimer ce qui est donné à travers la marche incessante qu’est la vie. « Il n’y a pas de honte à choisir le bonheur »,un aphorisme de Camus qu’aime à reprendre Yves Ughes. Il a écrit là un poème de longue et haute tenue, dans lequel un Judas très semblable à nous , toutes époques mêlées, se dégage de la résignation d’avoir tout perdu.

mercredi, 11 mai 2011

Rencontre lecture avec Alain Freixe et Raphaël Monticelli à la BMVR louis Nucera de Nice le samedi 14 mai 2011 à 15h

Poésie, Littérature, freixe, monticelli

14:11 Publié dans Nos ami(e)s lisent | Commentaires (0)

vendredi, 04 mars 2011

Quelques dates pour un Printemps des Poètes à Grasse en mars 2011

 Grasse est une terre de poésie. Il est des lieux qui s’offrent ainsi, et que le hasard dote de convergences inhabituelles autant qu’heureuses.

Ainsi a pris forme, dès 1956,  le dit « Fonds Vendel » du nom de son créateur qui dota la ville de plus de 30.000 volumes de poésie contemporaine. Un patrimoine rare, qui donna lieu à de véritables séances de spéléologie poétique. Cet ensemble est désormais hébergé par la Maison de la Poésie, place du Rouachier, rue de la Lauve.

Dans ce terrain/terreau des poètes habitant Grasse et sa région ont pris racine. Ainsi s’est créée et développée l’association Podio, il y a plus de 27 ans. 27 ans placés sous le signe de « la défense et l’illustration de la poésie sur le pays de Grasse ». Rosemai Guérin, puis Jean-Marie Barnaud et Alain Freixe, actuellement yves ughes ont porté l’action poétique d’une façon permanente dans notre ville, en animant, notamment, plus de 100 conférences-rencontres-lectures consacrées à la poésie contemporaine. Nombre de poètes agissent en cette association.

C’est donc tout naturellement que Podio a pris une place de partenaire dans les 12 sessions de « la poésie a un visage ».

C’est tout aussi naturellement que Podio entend aujourd’hui prolonger cet héritage alors même que « la poésie a un visage » disparaît, effaçant à jamais des traits jadis et naguère dessinés.

Il nous semblerait hautement dommageable de voir Grasse reculer dans la manifestation du Printemps des Poètes. Ainsi avons-nous élaboré, avec de nombreux partenaires, un programme qui, pensons-nous, contribuera cette saison encore à la pérennité poétique de notre cité.

 

Le 11 mars : à la Médiathèque de Mouans-Sartoux à 20h, dans  le cadre son 10ème annniversaire, une soirée Poésie-Musique et Bon Vin. Huit poètes interviennent en croisant leurs œuvres et celles des poètes qui les ont amenés à l’écriture. Lors de cette soirée, la poésie trouvera les échos musicaux des musiciens du conservatoire de Mouans-Sartoux, puis versera dans la dégustation de bons vins. Daniel Schmitt, Brigitte Broc, Yvette Dallemer, Jean-Marie Barnaud, Alain Freixe, Patrick Joquel, Yves ughes.

 

Le 12 mars : visites patrimoniales de la ville, avec stations poétiques. En partenariat avec le service du Patrimoine de la ville de Grasse. Départ de l’Office du Tourisme du Cours à 14h30. Parcours d’environ deux heures. Pot roboratif à l’arrivée.

 

 

Le 17 mars, à 19h30, à la Chapelle Victoria : Podio, les Amis de l’Amourier et Les Amis de la Chapelle Victoria invitent deux auteurs de l’Amourier Editions. Raphaël Monticelli présentera sa Légende Fleurie, et Erreur ! Contact non défini. son dernier livre : Capharnaüm, douze stations avant Judas. Lectures d’extraits, échanges, discussions. La soirée se terminera par un gustaroun au Centre Harjès.

 

Le 18 mars à l'école Antoine Maure, mise en poésie durant toute la semaine, des poètes liés à l'association Podio ( Daniel Schmitt, Alain Freixe, Yves Ughes...)interviendront lors d'une lecture publique ouverte aux parents à 17hs

 

Le 19 mars, La poésie a un village (sic): Escragnolles (voir annonce spécifique)

 

Le 19 mars, Altitude 500, à 20 heures 30   

Concert « Intime(S) » - Patrick Massabo chante Yves Giombini 

Dans ce concert proposé à l'occasion de la sortie de leur deuxième CD, quand Massabo chante Giombini, c’est en quelque sorte Patrick qui « récits d’Yves » ! Le jeu de mots peut paraître léger. Mais au fond, c’est bien ce qu’ils sont tous les deux : légers... Légers comme leur univers de textes et de mélodies qui nous effleurent l’âme en même temps que la peau. Car c’est d’amour qu’il est encore question. Mais aussi de mémoire et d’amitié.

La voix chaleureuse de Patrick Massabo se glisse dans ses musiques habiles et tendres et le choix d’une formation acoustique « légère » ne doit rien au hasard mais à l’envie ; une bande de potes qui soulignent de leurs sensibilités artistiques les mélodies charnelles dont Patrick a habillé les textes d'Yves : Xavier Canonne à la seconde guitare, Thomas Hoquet à la basse et Jérôme Goudour aux percussions.

Moments « Intime(S) »... à partager. 

 

Le 23 mars, rencontre possible au Restaurant-foyer La Rotonde : consultations poétiques données par Mireille Dalmasso et Yvette Dallemer.

 

 La librairie Tac-Motifs présentera des œuvres poétiques durant tout le mois et Radio Agora mettra ses ondes au diapason poétique durant la quinzaine.

 

 

 

 

 

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vendredi, 28 janvier 2011

Le temps des liquidateurs

J'avais écrit le O4 février 2010 - un an déjà! - sur mon blog lapoesieetsesentours.blogspirit.com sur le thème des liquidateurs, des nettoyeurs, des "Léon" de la culture ceci : "Après la suppression de la direction du livre et de la culture voilà que le Monastère de Saorge changerait de vocation: un hôtel! De luxe, on imagine! Ceux -la qui disent avoir le souci des créateurs sont prêts à brader x lieux dont le Monastère de Saorge au tourisme - "culturel" bien évidemment!!! »

Eh bien, un an après, ils sont toujours à l’œuvre les démolisseurs d’âme !

 

À Saorge, le 3 décembre 2010, Jean-Jacques Boin voit le contrat annuel qui le liait au Centre des Monuments Nationaux non renouvelé. Depuis 9 ans, ce haut lieu culturel a résonné de tant de voix d’écrivains en résidence, de concerts, d’exposition…va-t-il retourner au silence ? Pour combien de temps  et avec quelles perspectives ?

 

À Lyon, La scène poétique dont le poète Patrick Dubost s’est occupé de 2003 à 2010 à la Bibliothèque Municipale de la Part-Dieu vient de fermer son rideau. Plus d’une centaine de poètes français et étrangers sont venus risquer leur voix sur cette scène. Parmi les derniers, Bernard Noël et Charles Juliet. C’était le 15 décembre 2010. C’était la dernière séance. Patrick Dubost apprenait sans autre forme de procès la suppression du cycle 2011 sur décision unilatérale et sans discussion du nouveau directeur de la Bibliothèque !

 

À Grasse, c’est La Poésie a un visage qui passe à la trappe après 12 années d’existence. La Poésie a un visage c’était un partenariat entre la ville de Grasse, l’éducation nationale, la Drac, le Printemps des poètes, l’association Podio, Radio-Agora FM, le théâtre de Grasse, le Festival TransMéditerranée et tant d’autres. C’était durant tout le mois de mars des lectures publiques à la Bibliothèque Municipale puis à la Maison de la Poésie (créée en 2006), une exposition rendant hommage à un éditeur de poésie; des rencontres (établissements scolaires, environ 45 classes pour une quinzaine de poètes ; Maison d’arrêt…) des prises de parole sur RadioAgora FM ; une déambulation poétique en vieille ville ; des préfaces poétiques au théâtre de Grasse ; des conférences… Par manque de volonté politique et pour de mauvaises raisons économiques et de fonctionnement propres à la ville de Grasse et à la Bibliothèque Municipale, la Poésie n’a plus de visage à Grasse ! Certes, bien intentionné, le conservateur actuel entend transférer la défunte manifestation à la communauté d’agglomération faisant miroiter une plus grande audience. De ce qui n’existe pas, je ne puis juger mais à voir le fonctionnement de la Maison de la Poésie cette année, sa programmation chaotique, l’arrêt du partenariat avec l’association Podio qui depuis plus de 25 ans travaille bénévolement pour assurer au fonds Vendel de poésie contemporaine – 30000 volumes sont en dépôt à Grasse ! – un rayonnement toujours plus grand, les doutes l’emportent ! Là où il fallait consolider, on met à bas !

 

À paris, la Maison des écrivains (Mel) voit son budget menacé par l’annonce du gel de 5% du budget du Ministère de la culture. Elle devrait alors si cela se confirme renoncer à une partie conséquente de ses activités.

Ce ne sont là que quelques signes, j’y verrais quant à moi des symptômes !

Littérature, Poésie, Musique, Arts, Théâtre…cela fait lurette maintenant que la culture passe un mauvais quart d’heure ! La France avec !

La République sans la culture, c’est la nuit. La mauvaise nuit où attendent les monstres !

 

Alain Freixe

 

Serge Pey - L'Internationale du rythme - éditions Dumerchez - Lecture d'Yves Ughes

 

Couv Pey - copie 2.jpgIl est des notes impossibles à écrire et que l’on doit faire pourtant, impérativement, car les textes éblouissent.

Mais comment dire l’éblouissement ?

 

Le livre consacré à Serge Pey et l’internationale du rythme, publié sous la direction d'Andréas Pfersmann, donne le tournis ;  scandé, lancinant, fulgurant, jouant sur des accélérations et des instants de calme approfondissement il se bâtit à l’image de celui qui donne la parole aux bâtons, qui hâte la venue de la pluie et fait surgir le soleil. Une pluie de comètes dans la nuit des temps. Que le titre souligne.

L’Atelier des Brisants nous donne ici une leçon de vie, l’ouvrage fait cinq cents pages, et c’est de vitalité poétique qu’il s’agit.

Quelque soixante-quatre contributions s’appellent et se répondent pour laisser une trace lumineuse dans le ciel. A chacun de la lire, comme fulgurance. Car Serge Pey appelle d’emblée une réaction-manifeste : pas de statue pour le poète.

Tout chroniqueur ne peut qu’être confondu par la beauté des titres suscités par l’homme che impugnava un bastone…et qui se livre avec force –lo sforzo fisico- dans la mise en corps de la poésie. Tous les articles convergent pour dire ce claquement d’homme qui déchire le silence compassé du monde établi. Comment dès lors en privilégier certains et en taire d’autres ?

La note est décidément impossible.

Sauf, à prendre les grandes étapes du recueil et à procéder en descente, en spirale vers les horizons ouverts.  

Esquisses et portraits de Serge Pey. Halte 1. Fraternité. Halte II. Théorie du poème. Halte III. Le guerrier du sens : éthique et politique du poème. Halte IV. La parole des bâtons. Halte V. Poésie d’action ou « mise en rite du rythme ». Halte VI.

Chacune de ces scansions est ponctuée par des textes de Serge Pey. Deux incursions permettent d’entrer dans le livre et de suivre les rayons d’un soleil qui bascule du XX au XXIème siècle dans une pulsation déclenchée, dans une transe radieuse.

Il faut lire « la porte et la table » comme un mode d’entrée dans ce monde. Parfois en ce temps-là, les animaux remplaçaient les hommes pour crier. Prend corps ici un monde de Gardes civils, de mue de serpent, de grève, mais aussi de raisin et de couteau. Plus d’invités que prévu ? Qu’importe, la porte verticale –faite à grand peine et avec grand soin-  va devenir table horizontale, lieu d’accueil. De l’événement intensément vécu, du partage fraternel et militant mis en place autour des plats, naît un mode de poésie :

Ce trou dans la maison, durant toute une journée, est resté en moi comme la preuve d’un avenir qui accouche.

Pour manger ce que nous avions à dire ou pour écouter l’inconnu, il faut savoir ouvrir le monde.

Ce n’est pas  les mots ni les choses qui firent de moi un homme, mais les trous.

On n’écrit pas de la poésie, on vit en poésie.

Et il faut entendre la gueulante poussée par Serge contre la dispersion quand « les avida-dollars   et les roteurs d’euros se sont donnés rendez-vous à Drouot pour la vente de l’invendable ». Il s’agit bien sûr des objets agencés par André Breton en poème. Vendre ces objets qui sont les mots d’un Grand-Œuvre participe du génocide de la poésie.

Poème de bâton brandi, animé par la rage de traverser ce monde prédateur, qui accumule ses richesses pour se gaver de certitudes, ce monde toujours prompt à dynamiter toute parole qui le dérange.

Sur la tombe de l’amour fou, il ne nous reste que  nos poèmes pour faire basculer le monde du côté de la plus haute clairvoyance.

 

Ce qu’il faut d’humanité pour entrer dans la scansion du monde, ce qu’il faut de puissance pour entrer dans le rythme de la fraternité…tout dans cette approche du poète donne à l’entendre. Et le CD accompagnant le livre donne de la vie, de la voie à la richesse des mots qui constituent cet ensemble fertile.


Puisse une note impossible appeler à ce partage.

 

 

 

 

18:32 Publié dans Nos ami(e)s lisent | Commentaires (0)

mardi, 05 octobre 2010

Dimanche 17 octobre 2010: Poésies en marche

L'association poétique de Grasse Podio, l'association culturelle d'Escragnolles le Figon et la commune d'Escragnolles ont le plaisir de vous annoncer
pour le DIMANCHE 17 OCTOBRE A PARTIR DE 8 H 45, la 3ème édition de POESIES EN MARCHE.
Il s'agit d'une promenade allant du Pont de Beiral à Escragnolles (Parking sur la RD 6085) 1 km après le village jusqu'à la chapelle de Grattemoine à Séranon.

Tout le monde est invité. Sur le parcours, des poèmes seront dits par les membres de l'association PODIO et tous ceux qui le désireraient.
Il est prévu un grand pique-nique à proximité de la Chapelle de Graitemoine à 12 heures pour ceux qui auront fait la balade comme pour ceux qui à midi voudraient rejoindre les promeneurs depuis la Colette.

Pour l'apéritif, la Commune offre le rosé et Podio les amuse bouche.

( Pour ceux qui craignent de ne pas trouver un départ est prévu du hameau de la Colette à 8H 30
Des navettes sont prévues pour ramener les chauffeurs à leur point de départ.)

Pour tout renseignement complémentaire, veuillez contacter :

- Mme Jacquelme.STROKA au 04 93 09 15 53

- M. ou Mme Jean-Pierre LE MARTINET

au 04 93 42 52 44 ou au 06 80 44 52 04

- Association Podio : M. Yves UGHES 04 93 70 35 76

Vive le grand air, vive la poésie et vive l'amitié !

15:45 Publié dans Nos activités | Commentaires (0)

Prix Apollinaire 2010 - 72ème édition à Jean-Marie Barnaud

Lundi 11 octobre 2010 à 19h à l'Hôtel Claret, 44 Bd de Bercy, Paris, XIIème, notre ami, ancien président de Podio, Jean-Marie Barnaud recevra le prix Apollinaire 2010 pour son livre publié chez Cheyne éditeur , Fragments d'un corps incertain dont il avait lu des extraits à la Maison de la poésie de Grasse le 26 février 2010.

Si vous passez par là, n'hésitez pas à vous arrêter!)

( Renseignements: m.pierson@printempsdespoetes.com - Accès métro Bercy (sortie rue Corbineau )