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vendredi, 04 mars 2011

19 mars 2011, une journée en poésie du côté d'Escragnolles

Communiqué de la comission culture d'Escragnolles:

Vous connaissez ? C'est au Printemps et des Poètes nous rencontrent . Sur Grasse, L'association Podio que nous connaissons bien maintenant, y a travaillé sous le le nom de ''La Poésie a un Visage'' . Eh bien désormais, ''La Poésie a un Village'', puisque Podio va passer nous faire l'aubade le SAMEDI 19 MARS 2011 à ESCRAGNOLLE:

Ils passeront : à 9h au Château, à 10h aux Gras, à 11h aux Mourlans, à midi à Saint Pons (1). Après un pique-nique bien mérité, à 14h, ils visiteront l'exposition qu'auront réalisée nos enfants à la médiathèque à l'école .

(1). Si la météo le permet et si nous avons encore de l'énergie et du temps devant nous, nous pourrons passer à la Colette et à Bail . Mais pas de jaloux : un jour le village et les autres hameaux auront aussi leur aubade !

Guettons-les par la fenêtre ou rejoignons-les à partir de notre hameau, ou mieux encore accompagnons-les dès le départ au Château à 9h ! Venez pique-niquer avec eux puis visiter l'expo des enfants à14h ! En ce qui nous concerne, nous les accompagnerons tout du long, car ce ne sera jamais pareil !

                                                                                           

 

 

 

 

Podio à la Médiathèque de Mouan-Sartoux le 11 mars 2011 à 20h

yves ughes, patrick Joquel, Yvette Dallemer,  Brigitte Broc, Daniel Schmitt, Alain Freixe, affiche poésie musique et bon vin.jpgJean-Marie Barnaud
dans le cadre du Printemps des Poètes 2011 et pour le Xème anniversaire de la Médiathèque liront leurs textes ainsi que ceux d'un poète de la tradition de leur choix.

Yves Giombini: Mars en poésie

- Du 7 au 21 mars : Lectures de poèmes sur Agora Fm (94,00 FM), tous les jours sauf week-end, de 17h40 à 18h00 : Yves Giombini, Yves Ughes, Daniel Schmidt, Yvette Dallemer, Sylvie Cadier. (lien)

 

- 12 mars : Parcours poétique  de 14h30 à 16h30 au départ de l’Office de Tourisme de Grasse (Cours Honoré Cresp), avec le Service du Patrimoine de la Ville de Grasse : Yves Giombini et Yves Ughes. (lien)Jaquette IntimeS - dos.jpg

 

- 19 mars : Concert "Intime(S)" - Patrick Massabo chante Yves Giombini - ECA 500 GRASSE (lien) 

 

- 24 Mars : Mars Au Musée - Lectures de textes libertins (!!) du XVIIème siècle, Palais Lascaris (lien P.L.) à Nice (de 18h à 22h), avec Yves Giombini. (lien MAM) <= hum !...

 

Quelques dates pour un Printemps des Poètes à Grasse en mars 2011

 Grasse est une terre de poésie. Il est des lieux qui s’offrent ainsi, et que le hasard dote de convergences inhabituelles autant qu’heureuses.

Ainsi a pris forme, dès 1956,  le dit « Fonds Vendel » du nom de son créateur qui dota la ville de plus de 30.000 volumes de poésie contemporaine. Un patrimoine rare, qui donna lieu à de véritables séances de spéléologie poétique. Cet ensemble est désormais hébergé par la Maison de la Poésie, place du Rouachier, rue de la Lauve.

Dans ce terrain/terreau des poètes habitant Grasse et sa région ont pris racine. Ainsi s’est créée et développée l’association Podio, il y a plus de 27 ans. 27 ans placés sous le signe de « la défense et l’illustration de la poésie sur le pays de Grasse ». Rosemai Guérin, puis Jean-Marie Barnaud et Alain Freixe, actuellement yves ughes ont porté l’action poétique d’une façon permanente dans notre ville, en animant, notamment, plus de 100 conférences-rencontres-lectures consacrées à la poésie contemporaine. Nombre de poètes agissent en cette association.

C’est donc tout naturellement que Podio a pris une place de partenaire dans les 12 sessions de « la poésie a un visage ».

C’est tout aussi naturellement que Podio entend aujourd’hui prolonger cet héritage alors même que « la poésie a un visage » disparaît, effaçant à jamais des traits jadis et naguère dessinés.

Il nous semblerait hautement dommageable de voir Grasse reculer dans la manifestation du Printemps des Poètes. Ainsi avons-nous élaboré, avec de nombreux partenaires, un programme qui, pensons-nous, contribuera cette saison encore à la pérennité poétique de notre cité.

 

Le 11 mars : à la Médiathèque de Mouans-Sartoux à 20h, dans  le cadre son 10ème annniversaire, une soirée Poésie-Musique et Bon Vin. Huit poètes interviennent en croisant leurs œuvres et celles des poètes qui les ont amenés à l’écriture. Lors de cette soirée, la poésie trouvera les échos musicaux des musiciens du conservatoire de Mouans-Sartoux, puis versera dans la dégustation de bons vins. Daniel Schmitt, Brigitte Broc, Yvette Dallemer, Jean-Marie Barnaud, Alain Freixe, Patrick Joquel, Yves ughes.

 

Le 12 mars : visites patrimoniales de la ville, avec stations poétiques. En partenariat avec le service du Patrimoine de la ville de Grasse. Départ de l’Office du Tourisme du Cours à 14h30. Parcours d’environ deux heures. Pot roboratif à l’arrivée.

 

 

Le 17 mars, à 19h30, à la Chapelle Victoria : Podio, les Amis de l’Amourier et Les Amis de la Chapelle Victoria invitent deux auteurs de l’Amourier Editions. Raphaël Monticelli présentera sa Légende Fleurie, et Erreur ! Contact non défini. son dernier livre : Capharnaüm, douze stations avant Judas. Lectures d’extraits, échanges, discussions. La soirée se terminera par un gustaroun au Centre Harjès.

 

Le 18 mars à l'école Antoine Maure, mise en poésie durant toute la semaine, des poètes liés à l'association Podio ( Daniel Schmitt, Alain Freixe, Yves Ughes...)interviendront lors d'une lecture publique ouverte aux parents à 17hs

 

Le 19 mars, La poésie a un village (sic): Escragnolles (voir annonce spécifique)

 

Le 19 mars, Altitude 500, à 20 heures 30   

Concert « Intime(S) » - Patrick Massabo chante Yves Giombini 

Dans ce concert proposé à l'occasion de la sortie de leur deuxième CD, quand Massabo chante Giombini, c’est en quelque sorte Patrick qui « récits d’Yves » ! Le jeu de mots peut paraître léger. Mais au fond, c’est bien ce qu’ils sont tous les deux : légers... Légers comme leur univers de textes et de mélodies qui nous effleurent l’âme en même temps que la peau. Car c’est d’amour qu’il est encore question. Mais aussi de mémoire et d’amitié.

La voix chaleureuse de Patrick Massabo se glisse dans ses musiques habiles et tendres et le choix d’une formation acoustique « légère » ne doit rien au hasard mais à l’envie ; une bande de potes qui soulignent de leurs sensibilités artistiques les mélodies charnelles dont Patrick a habillé les textes d'Yves : Xavier Canonne à la seconde guitare, Thomas Hoquet à la basse et Jérôme Goudour aux percussions.

Moments « Intime(S) »... à partager. 

 

Le 23 mars, rencontre possible au Restaurant-foyer La Rotonde : consultations poétiques données par Mireille Dalmasso et Yvette Dallemer.

 

 La librairie Tac-Motifs présentera des œuvres poétiques durant tout le mois et Radio Agora mettra ses ondes au diapason poétique durant la quinzaine.

 

 

 

 

 

22:53 Publié dans Nos activités | Commentaires (0)

vendredi, 28 janvier 2011

Le temps des liquidateurs

J'avais écrit le O4 février 2010 - un an déjà! - sur mon blog lapoesieetsesentours.blogspirit.com sur le thème des liquidateurs, des nettoyeurs, des "Léon" de la culture ceci : "Après la suppression de la direction du livre et de la culture voilà que le Monastère de Saorge changerait de vocation: un hôtel! De luxe, on imagine! Ceux -la qui disent avoir le souci des créateurs sont prêts à brader x lieux dont le Monastère de Saorge au tourisme - "culturel" bien évidemment!!! »

Eh bien, un an après, ils sont toujours à l’œuvre les démolisseurs d’âme !

 

À Saorge, le 3 décembre 2010, Jean-Jacques Boin voit le contrat annuel qui le liait au Centre des Monuments Nationaux non renouvelé. Depuis 9 ans, ce haut lieu culturel a résonné de tant de voix d’écrivains en résidence, de concerts, d’exposition…va-t-il retourner au silence ? Pour combien de temps  et avec quelles perspectives ?

 

À Lyon, La scène poétique dont le poète Patrick Dubost s’est occupé de 2003 à 2010 à la Bibliothèque Municipale de la Part-Dieu vient de fermer son rideau. Plus d’une centaine de poètes français et étrangers sont venus risquer leur voix sur cette scène. Parmi les derniers, Bernard Noël et Charles Juliet. C’était le 15 décembre 2010. C’était la dernière séance. Patrick Dubost apprenait sans autre forme de procès la suppression du cycle 2011 sur décision unilatérale et sans discussion du nouveau directeur de la Bibliothèque !

 

À Grasse, c’est La Poésie a un visage qui passe à la trappe après 12 années d’existence. La Poésie a un visage c’était un partenariat entre la ville de Grasse, l’éducation nationale, la Drac, le Printemps des poètes, l’association Podio, Radio-Agora FM, le théâtre de Grasse, le Festival TransMéditerranée et tant d’autres. C’était durant tout le mois de mars des lectures publiques à la Bibliothèque Municipale puis à la Maison de la Poésie (créée en 2006), une exposition rendant hommage à un éditeur de poésie; des rencontres (établissements scolaires, environ 45 classes pour une quinzaine de poètes ; Maison d’arrêt…) des prises de parole sur RadioAgora FM ; une déambulation poétique en vieille ville ; des préfaces poétiques au théâtre de Grasse ; des conférences… Par manque de volonté politique et pour de mauvaises raisons économiques et de fonctionnement propres à la ville de Grasse et à la Bibliothèque Municipale, la Poésie n’a plus de visage à Grasse ! Certes, bien intentionné, le conservateur actuel entend transférer la défunte manifestation à la communauté d’agglomération faisant miroiter une plus grande audience. De ce qui n’existe pas, je ne puis juger mais à voir le fonctionnement de la Maison de la Poésie cette année, sa programmation chaotique, l’arrêt du partenariat avec l’association Podio qui depuis plus de 25 ans travaille bénévolement pour assurer au fonds Vendel de poésie contemporaine – 30000 volumes sont en dépôt à Grasse ! – un rayonnement toujours plus grand, les doutes l’emportent ! Là où il fallait consolider, on met à bas !

 

À paris, la Maison des écrivains (Mel) voit son budget menacé par l’annonce du gel de 5% du budget du Ministère de la culture. Elle devrait alors si cela se confirme renoncer à une partie conséquente de ses activités.

Ce ne sont là que quelques signes, j’y verrais quant à moi des symptômes !

Littérature, Poésie, Musique, Arts, Théâtre…cela fait lurette maintenant que la culture passe un mauvais quart d’heure ! La France avec !

La République sans la culture, c’est la nuit. La mauvaise nuit où attendent les monstres !

 

Alain Freixe

 

Serge Pey - L'Internationale du rythme - éditions Dumerchez - Lecture d'Yves Ughes

 

Couv Pey - copie 2.jpgIl est des notes impossibles à écrire et que l’on doit faire pourtant, impérativement, car les textes éblouissent.

Mais comment dire l’éblouissement ?

 

Le livre consacré à Serge Pey et l’internationale du rythme, publié sous la direction d'Andréas Pfersmann, donne le tournis ;  scandé, lancinant, fulgurant, jouant sur des accélérations et des instants de calme approfondissement il se bâtit à l’image de celui qui donne la parole aux bâtons, qui hâte la venue de la pluie et fait surgir le soleil. Une pluie de comètes dans la nuit des temps. Que le titre souligne.

L’Atelier des Brisants nous donne ici une leçon de vie, l’ouvrage fait cinq cents pages, et c’est de vitalité poétique qu’il s’agit.

Quelque soixante-quatre contributions s’appellent et se répondent pour laisser une trace lumineuse dans le ciel. A chacun de la lire, comme fulgurance. Car Serge Pey appelle d’emblée une réaction-manifeste : pas de statue pour le poète.

Tout chroniqueur ne peut qu’être confondu par la beauté des titres suscités par l’homme che impugnava un bastone…et qui se livre avec force –lo sforzo fisico- dans la mise en corps de la poésie. Tous les articles convergent pour dire ce claquement d’homme qui déchire le silence compassé du monde établi. Comment dès lors en privilégier certains et en taire d’autres ?

La note est décidément impossible.

Sauf, à prendre les grandes étapes du recueil et à procéder en descente, en spirale vers les horizons ouverts.  

Esquisses et portraits de Serge Pey. Halte 1. Fraternité. Halte II. Théorie du poème. Halte III. Le guerrier du sens : éthique et politique du poème. Halte IV. La parole des bâtons. Halte V. Poésie d’action ou « mise en rite du rythme ». Halte VI.

Chacune de ces scansions est ponctuée par des textes de Serge Pey. Deux incursions permettent d’entrer dans le livre et de suivre les rayons d’un soleil qui bascule du XX au XXIème siècle dans une pulsation déclenchée, dans une transe radieuse.

Il faut lire « la porte et la table » comme un mode d’entrée dans ce monde. Parfois en ce temps-là, les animaux remplaçaient les hommes pour crier. Prend corps ici un monde de Gardes civils, de mue de serpent, de grève, mais aussi de raisin et de couteau. Plus d’invités que prévu ? Qu’importe, la porte verticale –faite à grand peine et avec grand soin-  va devenir table horizontale, lieu d’accueil. De l’événement intensément vécu, du partage fraternel et militant mis en place autour des plats, naît un mode de poésie :

Ce trou dans la maison, durant toute une journée, est resté en moi comme la preuve d’un avenir qui accouche.

Pour manger ce que nous avions à dire ou pour écouter l’inconnu, il faut savoir ouvrir le monde.

Ce n’est pas  les mots ni les choses qui firent de moi un homme, mais les trous.

On n’écrit pas de la poésie, on vit en poésie.

Et il faut entendre la gueulante poussée par Serge contre la dispersion quand « les avida-dollars   et les roteurs d’euros se sont donnés rendez-vous à Drouot pour la vente de l’invendable ». Il s’agit bien sûr des objets agencés par André Breton en poème. Vendre ces objets qui sont les mots d’un Grand-Œuvre participe du génocide de la poésie.

Poème de bâton brandi, animé par la rage de traverser ce monde prédateur, qui accumule ses richesses pour se gaver de certitudes, ce monde toujours prompt à dynamiter toute parole qui le dérange.

Sur la tombe de l’amour fou, il ne nous reste que  nos poèmes pour faire basculer le monde du côté de la plus haute clairvoyance.

 

Ce qu’il faut d’humanité pour entrer dans la scansion du monde, ce qu’il faut de puissance pour entrer dans le rythme de la fraternité…tout dans cette approche du poète donne à l’entendre. Et le CD accompagnant le livre donne de la vie, de la voie à la richesse des mots qui constituent cet ensemble fertile.


Puisse une note impossible appeler à ce partage.

 

 

 

 

18:32 Publié dans Nos ami(e)s lisent | Commentaires (0)

Jean-Pierre Spilmont - Sébastien, éditions La fosse aux ours - Lecture de Marie Jo Freixe

« C’est une histoire d’amour qui a mal tourné » dit un fonctionnaire de police après l’interrogatoire de Sébastien un gamin à peine adolescent qui a commis l’irréparable. Le temps d’un face à face dans un bureau, le garçon, un taiseux qui a du mal avec les mots, avec les gens, se remémore une enfance sans amour, hormis celui d’un grand-père invalide, l’abandon de parents qui ont fort à faire avec leur négoce et peu de temps à consacrer à un enfant dont ils se sont débarrassés auprès d’un établissement spécialisé où viennent s’échouer ces petits hors-normes que l’on a tant de mal à comprendre  et qui semblent ne rien vouloir , ne rien attendre. Le lot quotidien de cette enfance-là c’est la violence, la haine. Dans la narration reviennent quelques bouffées de tendresse, d’amitié, et de rares moments de rêverie indicible car « les mots s’étouffent dans la gorge ». Jean-Pierre Spilmont conduit un récit percutant où se croisent deux moments : l’actualité et le passé, un passé proche et celui plus lointain de la guerre d’Algérie ; s’y croisent aussi des lieux différents qui sont presque tous des lieux de malheur . Au cœur du livre, un rapport de psychologue, figé sur « une très image mauvaise qu’il a de lui-même » que vient contredire ce que l’auteur  offre de son personnage : Sébastien voit clair dans le jeu d’adultes ou d’adolescents souvent méprisables, indifférents, voire brutaux, cruels. Sébastien aime et voudrait qu’on l’aime, il ne supporte pas l’injustice infligée à autrui ce qui peut le conduire aux pires violences mais il est sensible à la douceur des mots, des noms.

L’auteur prend le relais de celui dont il est dit dans le rapport que « ses niveaux de connaissances lexicales sont globalement déficitaires » , la langue du texte est proche de celle d‘un adolescent, souvent crue ; dans des phrases sans fioritures, incisives, qui vont à l’essentiel, elle touche le lecteur , le conduit au bord des larmes sans jamais toutefois jouer du pathos et d’une sensiblerie facile. Sébastien, un beau livre qui donne à entendre une voix  même quand «  la nuit, la ville avale les bruits à cause de tous les autres bruits. Ou bien parce que, dans une ville, personne n’écoute. »

 

 

 

 

18:23 Publié dans Nos ami(e)s lisent | Commentaires (0)

mercredi, 19 janvier 2011

2011,les voeux du Président de l'association Podio

Des vœux, pour faire quoi, dans un pays qui détient le record du pessimisme ?

Des vœux qui riment à quoi si l’on pense que l’avenir est bouché, que la vie relève d’une tension vers l’apocalypse ?
Plus que jamais, il convient de « redonner un sens pur aux mots de la tribu ». Reprendre la langue, la malaxer, la faire mal-axée, la pétrir autrement que par le sens du pouvoir et de la domination. Qu’elle éclate la langue, et laisse enfin circuler l’émotion. Ce qui nous remue et nous meut.

Alors, dans cet élan, avec allant on peut concevoir un futur, un à-venir,

Alors on peut souhaiter à tous et à toutes, d’excellents vœux pour l’an neuf. Avec sincérité.

Yves Ughes

 

 

mardi, 18 janvier 2011

Rencontre-Lecture "La marche en poésie" avec Alain Freixe et Yves Ughes à la BMVR Louis Nucéra à Nice, le vendredi 21 janvier à 17h

LectureBMVR.jpg

mardi, 02 novembre 2010

Lecture Pierre Michon

IMG_6569.JPGLe vendredi 29 octobre Podio conduite par son président, Yves Ughes a donné à entendre à la BMVR de Nice la lecture-conférence sur Pierre Michon que nous avions déjà entendue à la Maison de la Poésie de Grasse. Le duo Barnaud - Freixe a fait fort : une approche rythmée, claire, dense de l’œuvre , des «  Vies minuscules «  aux « Onze ». Dans le public quelques voix se sont élevées pour dire le désir de poursuivre, d’aller plus avant dans la connaissance de cette belle œuvre….L’auteure de ces lignes s’est replongée dès le lendemain avec délectation dans «  Vies minuscules ».

 

Marie jo Freixe